Récolter des données concernant le climat, l’air, les consommations énergétiques, les usages des habitants. Puis, les modéliser et les structurer afin d’en faire des services et en tirer des informations pour aménager le territoire. Telle est l’ambition de la plateforme de données, ou data hub, lancée par Dijon Métropole. Plusieurs sources alimentent cette structure.
D’abord, des capteurs de la collectivité qui mesurent la qualité de l’air, le passage de véhicules… Ensuite, des données internes ou venues de délégataires comme l’utilisation des transports. Et enfin des données externes récupérées via des partenariats.
Ces données sont ensuite structurées, avec un objectif : « Analyser des situations, et être plus efficace dans les réponses apportées », résume Denis Hameau, conseiller délégué de Dijon Métropole en charge de la Smart city.
Au sommaire
- Financement européen
- Inquiétudes liées aux libertés publiques et la surveillance
Source Intercommunalité de France
D’abord, des capteurs de la collectivité qui mesurent la qualité de l’air, le passage de véhicules… Ensuite, des données internes ou venues de délégataires comme l’utilisation des transports. Et enfin des données externes récupérées via des partenariats.
Ces données sont ensuite structurées, avec un objectif : « Analyser des situations, et être plus efficace dans les réponses apportées », résume Denis Hameau, conseiller délégué de Dijon Métropole en charge de la Smart city.
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- Inquiétudes liées aux libertés publiques et la surveillance
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